Hier était un de ces jours difficiles où le soir venu, une crise de larmes m'est tombée dessus. Le visage enfoui dans l'oreiller pour étouffer les sanglots, j'ai fini par m'endormir d'épuisement. Je déteste ces nuits où le sommeil est clairsemé et léger. Ces nuits où le manque de toi est tel que je me recroqueville dans mon lit, impuissante face à la douleur de ton souvenir. Je pensais ne plus te regretter. Mais la frontière entre illusion et réalité est bien plus mince qu'elle n'y parait.
Hier, le quota est passé à deux mois. Deux mois sans toi. Deux mois sans déjeuner au restaurant. Deux mois sans après-midi à la plage. Deux mois sans une cigarette au bord de la piscine. Deux mois sans nuit dans tes bras. Deux mois sans ton regard. Deux mois sans ton sourire. Deux mois sans tes mains. Deux mois sans ton corps. Deux mois sans toi.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas, tout comme les minutes qui s'égrainent.
Hier, le quota est passé à deux mois. Deux mois sans toi. Deux mois sans déjeuner au restaurant. Deux mois sans après-midi à la plage. Deux mois sans une cigarette au bord de la piscine. Deux mois sans nuit dans tes bras. Deux mois sans ton regard. Deux mois sans ton sourire. Deux mois sans tes mains. Deux mois sans ton corps. Deux mois sans toi.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas, tout comme les minutes qui s'égrainent.
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