Être loin de ce dont nous avons l’habitude n’est pas chose aisé.
Perdre sa routine. Devoir se reconstruire. Faire face à l’échec. Accepter l’oubli. Tourner la page. Admettre ses erreurs. Repartir de bons pieds. Faire des concessions. Oublier. Prendre conscience du superflu. Faire le tri.
Les larmes se feront la course. Les pensées s’entrechoqueront.
Mais au final, nous ressortirons majoritairement gagnants de tout ce que ces changements impliqueront.
Sur le chemin du nouveau monde, les visages défileront. Certains quitteront notre vie, d’autres y entreront. Le temps d’une fraction de soirée, ou le temps d’une éternité.
Il me semble que les gens sont tout aussi nocifs qu’indispensables à notre bien être. Et lorsque la distance y met son grain de sel, c’est un océan d’incompréhension qui se déferle sur notre petite existence. Les pourquoi s’accumulent. Les comment se défendent. La raison prend le large. Et puis vient le blues sur son beau cheval blanc.
Peu nombreux sont mes contacts gardés avec mon si proche passé. Choix ou obligation, il m’arrive de me sentir si loin de ceux qui me sont chers. Les mots reviennent; les promesses, les paroles réconfortantes, et le reste. Cette impression de n’avoir eu que des paroles en l’air de la part de beaucoup d'entre eux.
Le présent sous le nez, j’oublierai le passé sans cesser d’en parler.
Les mois à D*l Art*, les escapades en compagnie de Georgette, les soirées poker, les barbecues, les après-midi plage ou piscine, la nicotine au coucher, les nuits avec lui, les repas de famille, and I could go on and on and on…
Parfois, il m’arrive d’avoir le blues. Le blues de vous, le blues de ma toute dernière année en France. Et puis j’ouvre les yeux sur le monde extérieur, je met le pied dehors, je respire cet air pur, j’admire la nature à perte de vue. Et je pleure en silence, le sourire aux lèvres.
Vous me manquez.
Perdre sa routine. Devoir se reconstruire. Faire face à l’échec. Accepter l’oubli. Tourner la page. Admettre ses erreurs. Repartir de bons pieds. Faire des concessions. Oublier. Prendre conscience du superflu. Faire le tri.
Les larmes se feront la course. Les pensées s’entrechoqueront.
Mais au final, nous ressortirons majoritairement gagnants de tout ce que ces changements impliqueront.
Sur le chemin du nouveau monde, les visages défileront. Certains quitteront notre vie, d’autres y entreront. Le temps d’une fraction de soirée, ou le temps d’une éternité.
Il me semble que les gens sont tout aussi nocifs qu’indispensables à notre bien être. Et lorsque la distance y met son grain de sel, c’est un océan d’incompréhension qui se déferle sur notre petite existence. Les pourquoi s’accumulent. Les comment se défendent. La raison prend le large. Et puis vient le blues sur son beau cheval blanc.
Peu nombreux sont mes contacts gardés avec mon si proche passé. Choix ou obligation, il m’arrive de me sentir si loin de ceux qui me sont chers. Les mots reviennent; les promesses, les paroles réconfortantes, et le reste. Cette impression de n’avoir eu que des paroles en l’air de la part de beaucoup d'entre eux.
Le présent sous le nez, j’oublierai le passé sans cesser d’en parler.
Les mois à D*l Art*, les escapades en compagnie de Georgette, les soirées poker, les barbecues, les après-midi plage ou piscine, la nicotine au coucher, les nuits avec lui, les repas de famille, and I could go on and on and on…
Parfois, il m’arrive d’avoir le blues. Le blues de vous, le blues de ma toute dernière année en France. Et puis j’ouvre les yeux sur le monde extérieur, je met le pied dehors, je respire cet air pur, j’admire la nature à perte de vue. Et je pleure en silence, le sourire aux lèvres.
Vous me manquez.
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